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| GRUES BEC DE CANARD (page 2 sur 5) |
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| Ancrage |
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 De même que dans le reste des modèles de grue fixe, une armature spéciale est fournie en vue de son installation à l’intérieur d’un massif en béton situé au centre de la zone d’échouage prévue.
Comme la grue a une portée supérieure, il est possible de la placer à une distance considérable du bord du quai, ce qui permet de réaliser les travaux d’excavation et de mise en place du massif en béton de manière plus aisée, plus sûre et moins coûteuse.
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| Pivot et plate-forme |
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La colonne fixe comporte un tube circulaire dont la base assemblée et renforcée au moyen d’un cône, est fixée solidairement à l’ancrage.
Sur la partie supérieure, on place une plate-forme giratoire qui sert de support au bâti de la grue et aux principaux mécanismes de rotation, de levage et de changement de portée.
Sur cette plate-forme est disposée une coupée qui permet d’accéder à la colonne d’alimentation à cinq anneaux.
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| Bâti |
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La structure du bâti est unie à la plate-forme giratoire. Sur celle-ci sont fixés les principaux équipements et mécanismes de la grue. |
 La structure du bâti est unie à la plate-forme giratoire. Sur celle-ci sont fixés les principaux équipements et mécanismes de la grue.
Sur l’un des côtés, on place l’armoire électrique générale ainsi que les boîtes de transmission de la commande à distance et de la commande manuelle de la grue.
Sur la partie arrière, des supports soutiennent le groupe hydraulique qui alimente tous les mécanismes qui permettent la rotation, le levage et le changement de portée.
À mi-hauteur est installée la fixation pour le vérin hydraulique du système de changement de portée de la flèche.
Enfin, sur la partie haute est fixé le treuil qui contrôle le câble de levage. |
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| Flèche, tirant et bec |
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| L’ensemble relevable de la grue est constitué de 3 structures indépendantes unies et articulées entre elles au moyen de rotules sphériques chromées et obturées par des bagues d’étanchéité. |
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La disposition des axes d’articulation du quadrilatère a été définie de sorte que l’extrémité du bec observe une trajectoire pratiquement horizontale pendant qu’il se déplace de la portée maximum jusqu’à la minimum, et vice-versa. |
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